Offerte dans un Peep Show de Pigalle

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il y a 6 ans

Offerte dans un Peep Show de Pigalle

Sophie était prête et jeta un dernier coup d'œil au miroir qui lui renvoya l'image d'une femme rousse de 32 ans. Sophistiquée sans trop l'être, elle avait tenu à se maquiller sans tomber dans l'excès. Comme il lui avait demandé, elle ne portait qu'un imperméable qui se soulevait alors qu'elle dévalait L'escalier. Elle donna l'adresse au taxi, qu'elle n'avait pas commandé, sans savoir vraiment ou elle allait. L'arrondissement lui permettait de se douter qu'elle allait vers l'un des quartiers dits "chaud " de la capitale.

Cela faisait déjà 5 ans qu'elle s'y était mariée et était heureuse en ménage.

Son couple avait eu des hauts et des bas mais s'était vraiment épanoui depuis qu'ils pratiquaient tous deux "des petits jeux "comme il disait. Régulièrement, il lui proposait une petite surprise en la prévenant des fois deux semaines à l'avance, des fois le soir même.

Cette fois, Elle savait qu'elle devait se rendre à un endroit qui lui serait inconnu et là, suivre les instructions qui viendraient à elle.

Elle avait passé la semaine à se demander ce qu'était la surprise. Il avait toujours le don de l'étonner, sans jamais la choquer ni lui imposer quoi que ce soit. De toutes manières, elle n'aurait pas fait n'importe quoi juste par amour ou par désir car elle savait aussi contrôler ses pulsions et ses envies. Elle ne voulait surtout pas donner d'elle une image avilie à l'homme qu'elle aimait par-dessus tout et qu'elle partait rejoindre dans ce taxi.

Lorsqu'elle arriva à destination, le "c'est ici ! !" entendu du chauffeur la sortit d'une douce torpeur rêveuse. Elle paya et regarda la porte qui portait bien le numéro de l'adresse. C'était une porte blindée dans une petite ruelle pas très éclairée où l'on devinait une suite de portes arrière d'où devaient sortir les employés des échoppes du boulevard après la fermeture.

Elle appuya sur la sonnette et attendit deux bonnes minutes avant de sonner de nouveau. La porte s'ouvrit enfin et un long couloir apparu derrière la femme qui lui ouvrit la porte en lui faisant signe d'entrer. Une étrange lumière rouge baignait le corridor et elle passa devant la femme qui l'arrêta au beau milieu du couloir en lui enlevant l'imper sans rien lui demander. Sophie était nue devant une inconnue qui semblait totalement blasée et qui semblait ne pas noter la "bizarrerie" de la situation. Son corps frissonnait, non pas de froid car il faisait bon en cette fin de mois de mai, mais plutôt du mélange étrange d'émotions qui la submergeait soudain. Elle était certes très impatiente de voir la suite des événements mais sa pudeur naturelle lui rougissait le visage. En effet, même si elle était sur d'elle et de lui, elle eu une seconde d'hésitation jusqu'à ce que la femme lui dise :

  • C'est ici , en lui montrant une porte au fond de l'allée.

Elle s'avança doucement pour découvrir la pièce.

C'était un endroit d'environ 30 mètres carrés qui sur sa gauche avait une rangée de miroirs, au centre une sorte de petite scène tournante et sur la droite, n'étant pas bien éclairé, un mur où elle devina une porte fermée. Une musique douceâtre sortait des haut-parleurs d'une petite chaîne sans âge. La porte d'où elle arrivait se referma , la laissant seule, nue dans un endroit qu'elle devina être un Peep Show de Pigalle.

Elle qui n'avait jamais mis les pieds dans ce genre d'établissement en tant que cliente se retrouvait soudain en "vedette" près d'une scène tournante à la merci de voyeurs derrière leur glaces sans teint. Aussitôt une voix retentit, grave et directive :

  • Commence, ils t'attendaient.

C'était lui qui lui parlait, elle ne pouvait le voir dans la pénombre du mur du fond car elle avait la lumière des éclairages de la scène dirigée vers ses yeux.

Elle monta sur le plateau tournant et doucement commença à se prendre en main.

Elle savait parfaitement maintenant que des inconnus étaient en train de faire la même chose de l'autre coté des glaces et cette idée lui plaisait. Doucement elle s'assit sur la fourrure qui recouvrait la ´scéne et s'allongea à moitié en se tenant sur le coté, une main sur le sol et l'autre sur son corps. Elle continuait malgré tout a se caresser en imaginant ce qui se passait de l'autre coté des miroirs. Elle tournait sans arrêt, offrant la vue de son corps à tous et sentait la moiteur envahir ses lèvres. Soudain il arriva en se détachant de la pénombre.

Il était habillé de la tête aux pieds et s'approcha d'elle sans dire mot.

Elle sortit son sexe du pantalon et l'engouffra dans sa bouche ce qui lui fit lâcher un grognement de satisfaction. Elle était là qui tournait devant des inconnus, pratiquant une fellation à l'homme qu'elle aimait tout en savourant chaque seconde. Au bout d'un moment il lui demanda de se tourner, elle cru qu'il allait la prendre mais qu'elle ne fut pas sa surprise quand elle découvrit un autre sexe d'homme érigé en face de ses yeux. Sans se poser la moindre question elle l' avala tout de go le vit et sentit le sexe de son amant préféré s'engouffrer sans problèmes en elle. Il lui était difficile de se contenir et de ne pas geindre de plaisir tant elle appréciait le contexte et la manière dont on s'occupait d'elle.

L'homme dont elle avait le sexe en bouche lui assenait des mouvements de va et vient qui étaient totalement synchrones avec ceux qui lui labouraient le bas du dos. Elle pris d'elle-même l'initiative d'échanger les rôles et fit demi-tour à genoux pour mieux comparer les aptitudes de l'un et de l'autre.

L'inconnu s'engouffra en elle sans mot dire et elle se mit à lécher les testicules de son compagnon.

La tension montait terriblement et elle pouvait se voir prise par un inconnu devant tous, dans les miroirs des glaces qui semblaient l'entourer tant elle avait l'impression d'être sur un manège.

Le jeu dura encore vingt bonnes minutes. Elle refusa d'être prise par les deux hommes car elle n'avait pas envie de se faire sodomiser cette fois là, elle reçu avec plaisir le foutre de l'inconnu dans ses reins et pris un malin plaisir à faire durer son Amant. Celui ci lui fit subir le même sort après que l'inconnu se soit retiré et éclipsé.

Elle finit allongée, dégoulinante des spermes mélangés qui donnaient à sa toison rousse ébouriffée un aspect encore plus laiteux que sa peau.

Lorsque la tension fut définitivement retombée elle était seule. Il était parti sans un mot. Elle revêtit son imper que lui tendit la femme qui l'avait accueillit et se dirigea vers la sortie. L'attitude de la femme avait changée et Sophie cru discerner dans ce regard un mélange subtil d'admiration et d'envie. Le taxi était là qui l'attendait comme cela avait été convenu. Elle donna son adresse et pensa que dans quelques minutes, elle serait à nouveau chez elle, avec lui et qu'ils feraient l'amour. Tout allait bien.

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